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Configurer sa boite de courriel Gmail revient à faire le choix entre deux modes de récupération des messages. Vous avez le choix entre POP et IMAP.
  • En POP, vous récupérez localement vos messages sur votre ordinateur. Vous pouvez choisir de laisser une copie sur le serveur ou de supprimer les messages une fois ces derniers téléchargés sur l’ordinateur.
  • En IMAP, vous consultez vos messages comme si vous étiez connecté sur le serveur de messagerie qui les stocke. Si vous avez créé des dossiers pour ranger vos messages au fur et à mesure, vous retrouvez cette organisation également sur votre ordinateur. Personnellement, je préfère travailler en IMAP pour retrouver les courriels sur mes ordinateurs mais également sur mon smartphone.
Voilà pour le principe et le « plantage » de décor à ce billet.

Outlook 2013 et Gmail en IMAP

J’ai voulu tester la compatibilité de Microsoft Outlook 2013 avec Gmail en utilisant IMAP. Première impression très positive car la récupération des messages de la boite Gmail s’est effectuée très rapidement : tous les dossiers sont synchronisés (100 dossiers) et immédiatement disponibles. Par contre au fur et à mesure de la réception des courriels, je me suis aperçu que les dossiers se dédoublaient avec la mention « uniquement sur l'ordinateur ».



En faisant quelques recherches sur la toile, j’apprends que Microsoft Outlook 2013 ne gère pas correctement l’IMAP en dehors de ses propres produits… Quelle déception ! En effet, en dehors de Microsoft Exchange, Outlook 2013 stock sur l’ordinateur les dossiers actualisés. De ce fait, on perd tout l’intérêt d’utiliser l’IMAP puisque les messages sont stockés en local sur l’ordinateur.

Abandonner Outlook 2013 et choisir emClient

Puisque Microsoft Outlook 2013 ne gère pas correctement Gmail en IMAP en conservant les messages uniquement sur l’ordinateur, il va être temps de changer de client e-mail.

Quel client e-mail choisir ?

Thunderbird est un client mail bien connu qui gère parfaitement Gmail en POP et en IMAP. Il existe de multiples extensions pour compléter ses fonctionnalités et vous pouvez l’habiller avec des thèmes graphiques. Cerise sur le gâteau, il est open source.



emClient, n’est pas open source mais il a l’énorme avantage qu’il s’interface à merveille avec Gmail en IMAP. De plus il propose de synchroniser les contacts et l’agenda Google. Ce qui est très pratique pour conserver ordinateur et smartphone à jour. Personnellement, j’ai opté pour ce client e-mail hautement personnalisable (un billet à ce sujet est en prévision). Et vous qu’utilisez-vous comme client e-mail ? Sources :



Il y a quelques temps j’avais publié un billet pour vous faire découvrir elementaryOS, une distribution Linux qui a du style… Aujourd’hui, je vais vous présenter comment installer elementaryOS étape par étape.

Pour faire cette installation, je vous propose d’utiliser une machine virtuelle. Le tutoriel a été réalisé avec Windows 7 mais les étapes sont identiques si vous utilisez un autre OS (MacOS, Linux ou tout autre version de Windows).

Nous allons voir comment préparer l’environnement virtuel puis nous déroulerons toutes les étapes de l’installation d’elementaryOS. Pour faire cette installation, j’utilise une machine virtuelle gérée dans VMware Player.

Configurer VMware Player

Utiliser VMware Player permet de disposer d’un environnement de virtualisation de machine. Dans ce cas, vous disposer d’une machine hébergée sur votre ordinateur sans avoir besoin de formater votre disque dur à chaque nouvelle installation d’un système d’exploitation. La machine virtuelle utilise les ressources de votre ordinateur aussi, la configuration présentée ci-dessous est liée à ma machine hôte. Vous devrez surement adapter la configuration de la machine virtuelle aux ressources de votre machine.

Vous devez télécharger VMware Player et l’installer sur votre ordinateur.

Une fois l’installation terminée, vous devez créer une machine virtuelle pour accueillir la distribution elementaryOS :



Cliquez sur « Create a New Virtual Machine » pour configurer la machine virtuelle.



Donnez un nom à la machine virtuelle.

Par défaut, VMware Player stocke les machines virtuelles dans le dossier « Documents » de votre profil. Mais vous pouvez choisir un lieu de stockage différent en cliquant sur « Browse ».



Vous devez spécifier la taille du disque que vous souhaitez alloué à votre installation. Ici, j’ai choisi 20 GB.

Vous pouvez stocker la machine virtuelle dans un fichier unique ou la constituée de plusieurs fichiers. Dans ce dernier cas les performance de la machine virtuelle seront moindres mais facilitera le déménagent de cette dernière.

Une fois le wizard d’installation terminé, vous obtiendrez une fenêtre récapitulative présentant les paramètres de la machine virtuelle :



Personnellement, je préfère revenir sur la configuration pour régler la taille de la mémoire et le nombre de coeurs du processeur. Pour se faire, sélectionnez la machine virtuelle fraîchement crée et cliquez sur « Edit virtual machine settings » :



Modification de la taille de la mémoire allouée au fonctionnement de la machine virtuelle :



Réglage du nombre de coeurs du processeur alloué à la machine virtuelle :



Une fois les réglages de la configuration de la machine virtuelle, vous devez :

téléchargez la distribution elementaryOS au format ISO (http://elementaryos.org/) ;
chargez l’ISO au boot de la machine virtuelle en passant par l’onglet « Hardware » > CD/DVD (IDE) :




Puis démarrez la machine virtuelle :



Maintenant que vous avez configurer VMware Player, chargez l’ISO de la distribution elementaryOS, nous allons pouvoir passer aux choses sérieuse ;-) en lançant l’installation du système d’exploitation.




Aujourd'hui, j'ai envie de vous présenter une petite pépite dans le monde des distributions Linux : Elementary OS.

Elementary OS est basé sur Debian, comme Ubuntu, ce qui explique qu'il est possible d'installer les mêmes applications que cette distribution.
Une fois l'installation réalisée, on note l'aspect graphique homogène très réussi qui fait penser à Mac OS. Effet d'autant plus flagrant qu'on se retrouve avec un dock en bas de l'écran permettant de lancer les applications. Ce qui renforce l'inspiration Mac OS de cette distribution.

Coté application, le choix s'est porté sur des solutions légères. Par exemple on retrouve Scratch comme éditeur de texte au lieu de LibreOffice Writter. De même pour le navigateur et le courriel éléctronique (pas de Firefox ni de Thunderbird).

Mais il est très facile d'installer ses logiciels favoris car on retrouve le Software Center dans le Dock qui permet d'ajouter Firefox, Thunderbird et LibreOffice en quelques secondes.



La version actuelle d'Elementary OS est appelé de son nom de code "Luna". Elle est vraiment très stable : je l'ai installé sur mon laptop Toshiba de huit ans d'age et ça tourne vraiment très bien. L'ensemble est fluide et s'exécute parfaitement bien.

Top 3 des fonctionnalités de Elementary OS Freya

Freya est la future mouture d'Elementary OS et cette vidéo montre les 3 fonctionnalités phares :



Si Elementary OS vous a convaincu, je vous invite à rejoindre la Communauté française Elementary OS



Je partage mes premiers pas avec la distribution Linux Fedora 20 que je ne connaissais pas.

En effet, comme beaucoup de débutant avec Linux, j'ai déjà testé plusieurs versions de Ubuntu, la distribution très proche de l'univers que je connais depuis que j'ai commencé à utiliser des ordinateurs....

Mais voilà, j'ai suivi une formation de webmaster et administration de serveurs web au CNAM, j'ai besoin de disposer d'un environnement proche des serveurs pour compléter mes connaissances et j'ai envie de tester une nouvelle distribution Linux tournant sous Gnome pour avoir une nouvelle expérience utilisateur.

Faut dire également que depuis deux an et demi, j'installe et interviens sur des serveurs Linux tournant grâce à CentOS mais sans interface de bureau (tout en ligne de commande).

Mais revenons à Fedora 20, une fois l'installation faite que je ne détaillerai pas dans ce billet de blog mais je vous invite à faire un saut sur le site de ZDnet - Installer Fedora 20 en images.


Mise en place du serveur Web

La première chose à faire est de mettre en place l'environnement de base du webmaster à savoir une architecture appelée LAMP :  
Linux : le système d'exploitation  
Apache : le serveur web  
MySQL : la base de données  
PHP : le langage PHP qui s'entend très bien avec MySQL

Installer Linux

Bon ça c'est fait vu que je dispose de Fedora 20 sur mon portable avec le tutoriel photo de ZDnet dont j'ai fait référence plus haut.

La seule petite difficulté que j'ai rencontré est liée à la préparation du disque puisque j'avais déjà Windows 7 de pré-installé sur mon ACER Aspire 5742. Pour m'en sortir j'ai finalement supprimé l'installation Windows puis formaté le disque dur avec l'utilitaire mis à disposition dans le process d'installation de Fedora 20.

Installer Apache

Première surprise, j'ai n'ai pas pu utiliser les différents turiaux que j'ai trouvé sur le Net car j'utilise Fedora 20 avec un profil utilisateur différent de root. Pour rappel, l'utilisateur root est le profil qui a tous les droits dans l'univers Linux. Et pour une question de sécurité il est fortement déconseillé d'utiliser ce compte au quotidien. De ce fait, lorsque j'ai essayé d'utiliser les commandes, Fedora me répondait poliment que je n'avais pas les droits suffisants pour exécuter la demande.

Exemple pour installer Apache, le tutoriel trouvé chez digitalocean m'invite à lancer dans le terminal :  
$ sudo yum install httpd

Et bien ça ne marche pas et je me retrouve dans les cordes... Voilà le code que j'ai utilisé pour installer Apache sur Fedora 20 avec mon compte utilisateur :
$ su -c 'yum install httpd'

Pour vérifier qu'Apache est bien installé et pour tester le bon fonctionnement, il faut lancer le service :
$ su -c 'service httpd start'

Ouvrez votre navigateur préféré et ouvrez l'adresse suivante : http://localhost ou http://127.0.0.1



Reste à démarrer le serveur apache à chaque fois que le PC démarre :
$ su -lc 'systemctl enable httpd.service'

Houra ! Voilà le serveur apache est installé !

Installer MySQL

Sur le même principe d'installation d'Apache, nous allons installer MySQL le moteur de bases de données en lançant la commande dans le Terminal :

$ su -c 'yum install mysql-server'

Puis on démarre le service pour tester le bon fonctionnement :
$ su -c 'service mysqld start'

Pour tester MySQL, on lui demande de retourner la version installée :
$ mysql --user root --execute "select version()"

Pour que MySQL démarre avec l'ordinateur :  
$ su -lc 'chkconfig mysql on'

Installer PHP

Aller une dernière étape, l'installation de PHP avec la commande :
$ su -c 'yum install php'

Pour tester le bon fonctionnement de PHP, on créé un fichier info.php dans le dossier www de l'installation serveur qui va retourner toutes les caractéristiques et configurations de PHP :
$ su -c 'nano /var/www/html/info.php'

Editez ce fichier et ajouter les lignes suivantes :
<?php
phpinfo();
?>

Lorsque j'ai tenté de sauvegarder le fichier info.php, j'ai eu un message m'indiquant que je n'avais pas les droits suffisants, alors j'ai changé les droits sur le dossier html :
$ su -c 'chmod -R 777 /var/www/html'


J'espère que ces quelques commandes vous aiderons également à installer un serveur web sur la distribution Linux Fedora. N'hésitez pas à laisser un commentaire pour toute remarque.


Il y peu de temps, dans le billet présentant la boite à outil pour bien démarrer avec Java, je vous ai présenté l’Environnement de Développement Intégré (EDI) NetBeans. Jusqu’à présent j’utilisais un autre logiciel pour l’intégration HTML-CSS avec un look reconnaissable : Sublime Text plébiscité par les intégrateurs web.

Aussi, si comme moi vous utilisez Sublime Text et que vous ne souhaitez pas être dépaysé en utilisant NetBeans, il existe un plugin NetBeans permettant de retrouver les couleurs et les fonts de Sublime Text.

Sachez que NetBeans permet de développer en Java mais également en PHP, HTML5 et CSS3.



Vous trouverez les plugins pour NetBeans sur le site de l'éditeur : http://plugins.netbeans.org/PluginPortal/

Changer le thème de l'éditeur NetBeans

Tout d'abord, téléchargez le thème Sublime Text au format .ZIP à partir de cette page http://plugins.netbeans.org/plugin/51424/sublime-theme

Pour installer le thème, ouvrez NetBeans, puis dans Tools > Options > Fonts & Colors :



Utilisez le bouton Import, choisissez "1383487055_Sublime-Theme.zip" pour ajouter ce thème à la liste des Profiles :



Cliquez sur OK pour appliquer le thème.

Présentation de NetBeans 8.0




Comme tous les artisans, le webmaster a besoin d’utiliser des outils fiables et efficaces pour réaliser son travail. Aussi, je profite de cette fin de semaine pour vous présenter ma découverte du moment : Aptana Studio 3.

Aptana Studio 3 est un Environnement de Développement Intégré dévolu au développement Web (ça tombe bien c’est mon métier…). Cet EDI va rapidement devenir votre allié pour travailler vos projets en HTML5, CSS3, JavaScript, Ruby, Rails, PHP et Python.

Et la cerise sur le gâteau Aptana Studio 3 est distribué en open source.


Si toi aussi ami développeur tu veux essayer, il te suffit de faire un tour sur le site de l’éditeur : http://aptana.com/products/studio3

Pour découvrir des astuces, plugins et la francisation de l’IDE, un petit tour sur le blog de Breith Barbot s’impose : http://breithbarbot.com/blog/astuces-et-plugins-pour-aptana-studio-3.html

Vous former : Tutoriel Aptana 3 sur Code Weblog


J’utilise très souvent WordPress pour des projets de site web ou de blog et il m’arrive de repartir d’une base existante pour l’ossature du thème graphique. L’inconvénient est que l’auteur du thème WordPress peut être amené à l’actualiser or par défaut, lorsqu’une mise à jour est mise à disposition, WordPress propose de lancer la mise à jour. Si par erreur la mise à jour est lancée, cela viendra écraser toutes les modifications effectuées sur ce thème.

Pour éviter ce désagrément, il est impératif de bloquer les mises à jour pour ne pas perdre le travail de personnalisation. Si vous souhaiter bloquer les mises à jour d’un thème, je vous livre le bout de code qui bloquera l’alerte de mise à jour qui s’affiche dans le back office de WordPress.

Pour ce faire ouvrez le fichier functions.php puis coller ces lignes de code en début de fichier juste après la balise d'ouverture de PHP :

/* supprimer les notifications de thèmes */
remove_action( 'load-update-core.php', 'wp_update_themes' );
add_filter( 'pre_site_transient_update_themes', create_function( '$a', "return null;" ) );



Dans cet article je vais m’attacher à vous présenter les différents éléments dont vous aurez besoin pour créer un site Web utilisant WordPress
Le coût pour faire un site de photographie est approximativement de 100 €uros (TVA incluse). J'ai énuméré la ventilation des coûts ci-dessous. Vous pouvez embaucher un freelance ou vous pouvez créer votre site vous-même, car pour cette mise en place il n'y a pas besoin de connaissance en programmation si vous utilisez le thème WordPress présenté dans ce billet.


Coût pour faire un site internet de Photographie (TVA incluse) :

10 € / an - Un nom de domaine : 

il s’agit de l’adresse de votre site internet. Exemple : www.photographe-de-mariage-a-tours.com.
https://www.ovh.com/fr/domaines/

30 € / an - Un hébergement : 

il s’agit de l’espace de stockage que vous louez à l’année pour héberger votre site internet de photographie.
https://www.ovh.com/fr/hebergement-web/

0 € / an - Une base de données : 

pour stocker les textes et les informations de votre sites WordPress, il est nécessaire de disposer d’une base de données. Cette dernière est fournie avec votre hébergement (d’où un coût à zéro dans cet exemple).

0 € WordPress : 

WordPress est une plateforme open source totalement gratuite.
http://www.wordpress-fr.net/

60 € - Thème VIDEOGRAPHER pour WordPress : 

VIDEOGRAPHER est un thème de Photographie minimaliste parfait pour les photographes ou les modèles qui ont besoin de présenter leur travail. Il peut également être utilisé par les journalistes pour créer un blog de ​​photo ou pour les photographes de mariage qui veulent créer plusieurs galeries de mariage pour montrer leur travail à leurs clients potentiels.
http://www.templatehelp.com/preset/pr_preview.php?i=49004&pr_code=FJ0TtyjTAGNy75i3TF0j14Pq58718h




Il s’agit d’un site vous permettant de commencer à publier du contenu avec un design professionnel. En aucun cas, j’ai fait référence à l’installation et le paramétrage de composant WordPress qui viendront compléter les fonctionnalités de votre site Web.



Avant de commencer à développer avec Java, il faut télécharger et installer les outils de développement.

Java est un langage de programmation né en 1995. Il permet de créer des logiciels autonomes ou des applets qui s’exécutent dans la fenêtre d’un navigateur internet. Java n’est pas compilée et nécessite un interpréteur permettant de traduire le code en programme. Java est portable et compatible avec toutes les plateformes (Windows, Mac OX et Linux) car l’application Java tourne dans une machine virtuelle embarquée sur l’ordinateur.

Lien : http://www.jmdoudoux.fr/java/dej/index.htm
Avant d’écrire la première ligne de code Java, il convient de s’équiper.

Java Runtime Environnement (JRE)

JRE permet d’interpréter le code Java. Il est indispensable pour exécuter vos développements en Java.

Vous devez choisir la version qui vous convient compte tenu de votre système d’exploitation (attention pour Windows, vous avez deux versions disponibles : 32 bits ou 64 bits).

Lors de l’installation du JRE, veuillez noter le chemin d’accès au programme car vous devrez vérifier si ce chemin s’inscrit bien dans la variable d’environnement de votre PC sous Windows. Le cas échéant, vous serez obligé de l’ajouter manuellement si ce dernier ne s’ajoute pas automatiquement.

Deux possibilités :
  • C:\Program Files\Java\jdk1.7.0_45\bin ;
  • Pour Windows 32 bits
  • C:\Programmes\Java\jdk1.7.0_45\bin ;
  • Pour Windows 64 bits

Pour accéder aux variables d’environnement, vous devez passer par le Panneau de configuration puis Système (raccourci clavier Windows + Pause).

Cliquez sur "Paramètres système avancés" puis "Variables d’environnement" et vérifiez la présence du chemin précédemment récupéré dans Path. Si le chemin n’est pas présent, allez tout au bout de la ligne, ajoutez un point virgule et coller le chemin vers le dossier bin du JRE.

Lien : http://www.oracle.com/technetwork/java/javase/downloads/jre7-downloads-1880261.html


Environnement de Développement Intégré (EDI)


Vous trouverez régulièrement l’acronyme IDE (Integrated Developement Environement) pour évoquer les environnements de développement. Je vais en citer seulement deux dans ce billet alors qu’il en existe plusieurs. Je vous invite à faire un tour sur l’excellent site Developpez.com pour découvrir la liste des EDI Java.

Lien : http://java.developpez.com/telecharger/index/categorie/336/RAD-et-EDI-Java

Eclipse

Un des EDI le plus utilisé est Eclipse qui est constitué de briques logicielles pour développer sous plusieurs langages Java mais également en PHP, C, C++, etc… Il est multiplateforme et tourne sous tous les systèmes d’exploitation (Windows, Mac OX et Linux).

Eclipse est un environnement de développement écrit en Java dont on doit l’origine à un ensemble de grandes entreprises (HP, IBM, Borland…) qui se sont unis pour impulser sa naissance et son essor.

Eclipse est sous licence Eclipse Public License qui permet de le ranger au rayon des logiciels libres.

Dans la liste des téléchargements préférez Eclipse IDE for Java EE Developers.

Lien : http://www.eclipse.org/

NetBeans

NetBeans est un EDI initialement dévolu à Java créé à l’initiative de Sun Microsystems, vous le trouverez également présent sur le site Oracle à coté du lien de téléchargement du JRE que nous avons vu précédemment. Il s’est récemment adjoint d’autres langages de développement comme le PHP, HTML5 et CSS.

NetBeans est sous licence OpenSource et permet de développer rapidement et gratuitement des applications graphiques Swing, des Applets, des JSP/Servlets et des architectures J2EE.

Lien : https://netbeans.org/

Quel EDI choisir ?

Un bon artisan a besoin de bons outils pour construire dans les meilleures conditions. Lorsqu’on débute il est toujours difficile de se faire une idée de l’outil qui répondra le mieux à ses attentes et qui permettra de se sentir bien. Vous avez la solution de tester Eclipse et NetBeans pour vous faire votre propre idée. Vous pouvez également faire une recherche sur Google pour pécher l’avis de développeurs qui sont passé par cette étape du choix.

Pour ma part, débutant avec Java, j’ai opté pour NetBeans sur les conseils de mon collègue qui développe en Java (Philippe D., si tu me lis, j’en profite pour te saluer…).

Lien : http://fr.openclassrooms.com/forum/sujet/netbeans-ou-eclipse-57398

Livres à propos du développement avec Java :



Nous allons voir dans ce billet comment installer simplement le moteur de boutique en ligne PrestaShop sur un serveur mutualisé OVH.

Cette méthode ne requiert aucune connaissance technique pour mettre en place PrestaShop puisque tout se passe dans l'interface d'administration d'OVH, le Manager.

Personnellement, je n'utilise jamais cette méthode car je préfère tout faire manuellement pour être assuré que toutes les étapes se déroulent bien. D'autre part, je peux être amené à installer PrestaShop sur des hébergements autres que OVH.

Les étapes pour installer PrestaShop chez OVH

Une fois que vous avez passé toutes les formalités pour obtenir un hébergement et un nom de domaine chez OVH, rendez-vous dans le manager puis passez par Hébergement > Services WEB :



La Gestion des modules permet d'installer des outils comme un blog, une galerie photos, un système de newsletter, une boutique en ligne, etc...



On va ajouter un module en cliquant sur Ajouter



Vous le voyez, nous ne sommes pas limité à PrestaShop comme moteur de boutique. Si le coeur vous en dit, vous pouvez tester Magento ou Zencart.

Pour Magento, évitez d'utiliser un serveur mutualisé pour une boutique en production.
OSCommerce est le grand père des moteurs de boutique en ligne et il n'a pas su se remettre en question face aux petits nouveaux open source.
Personnellement j'ai entendu beaucoup de bien de Thelia, un moteur de boutique d'origine française (cocorico !).

Bon bref, revenons au sujet :
La page de configuration de l'installation de PrestaShop apparaît et je vais m'attarder un peu sur le choix de la base de données :


Concernant la base de données, vous avez le choix entre utiliser une base gratuite limitée, parfait pour un test de PrestaShop par contre si vous souhaiter aller plus loin que la simple découverte de l'outil, je vous invite à utiliser votre propre base de données. Vous aurez la main pour intervenir sur votre BDD ou pour simplement faire des sauvegardes (dump).
Soyez vigilent sur ce point car un retour arrière n'est pas possible une fois que votre choix est fait.

Puis Valider pour lancer l'installation de PrestaShop sur votre hébergement OVH.

Vous recevez un e-mail de la part d'OVH avec l'adresse de votre boutique ainsi que l'adresse qui vous permet d'accéder à l'interface de gestion de votre boutique en ligne (back office).
Dans ce message, OVH vous communique également les codes d'accès (utilisateur et mot de passe) pour gérer votre toute nouvelle boutique PrestaShop.

Et voilà votre belle boutique PrestaShop




Et après ?

Vous pouvez changer le look de votre nouvelle boutique en téléchargeant un thème graphique pour PrestaShop (Template). Choisissez un Template compatible avec votre version.

Notre sélection de thèmes pour PrestaShop

Des questions sur l'usage des Thèmes graphiques ? Consultez la Foire Aux Questions